Kzanadeus - Livre des créations 1 - Le derniers des Wolfens!

A force de faire des tours sur des forum de jeux de roles j'ai eu envie de me remettre à l'écriture de fan-fic. Je vous met donc ma dernière création toujours en cours faite pour le moment dans la même soirée, veuillez donc me pardonner pour les fautes.

Le dernier des Wolfens !!!!!

Act I : Le départ !

C'était il y a longtemps, lorsque les guerres entre les hommes, les orcs, les morts et les Wolfens faisaient rages. Oui, cette histoire date de cette époque dont peut d'entre nous ont entendu ne serait-ce que les rumeurs.

Il se nommait Asgarh dans les langages parlés. Lui étant un Wolfen il parlait peu mais vociférait plus. Les Hommes étaient de terribles êtres qui ne vivaient que dans leur propres intérêts. Tuant sans remords et ôtant avec toujours plus de plaisir toute vie croisant la leur pour assouvir leur soif de domination. Les orcs, dont l' anéantissement de toute vie intelligente afin de vivre de manière aisée et sans risque, participaient eux aussi à cette guerre. Enfin, les morts, êtres revenus des entrailles de la terre afin d' assouvir une revanche sur les vivants, toujours emplis d'une jalousie et d'une haine sans égale des vivants, ne semaient pas la mort mais récoltaient seulement la vie.

Asgarh était chef d'une petite meute Wolfen. Mais pour lui les temps étaient rudes, les guerres grandissaient de jour en jour et son peuple était encore le seul qui n'était pas totalement unifié. Il faut dire que les Wolfen, êtres mi-animaux, mi-humains, ont toujours réclamé le droit à une place dans la vie sur la terre. Toujours chassés comme des animaux par les autres races, ils ont finis par se lever contre elles afin de prouver qu'ils n'étaient pas seulement des gibiers. Mais, petit à petit, le coté animal prenait une place de plus en plus grande dans le coeur des Wolfen. Ces êtres qui se dévouaient plus à la guerre qu'à la protection de la nature. Ils commençaient à vouloir un chef, qui changeait régulièrement, toujours tué par un de ses congénères afin de dominer la meute.

Petit à petit des meutes composés de Wolfen ayant survécu à un combat pour le rang de chef ou bannis pour des raisons quelconques, virent le jour. Durant la jeunesse d'Asgarh, il existait plusieurs grandes meutes et une multitudes de petites meutes. Ces dernières étaient toujours dévouées à une des principales. Par exemple, celle d'Asgarh, Les chiens errants, ne reconnaissait que Les crocs de la déesse Lune comme amis. Cela ne plaisait pas du tout à Asgarh qui savait que pour que son peuple puisse vivre il fallait qu'il soit uni. Ainsi, un matin, lorsqu'il se leva il savait que son destin n'était pas d'être chef de meute mais de réunir tout son peuple et de le mener à la victoire.

[A suivre]

Acte II : Première confrontation

C'est ainsi qu'il laissa sa meute encore endormie, seule et partit pour les grandes forêts afin de rencontrer le chef des Crocs de la déesse Lune, Killyox. Les Wolfens ne sont jamais totalement rassurés lorsque quelqu'un entre sur leur territoire, même lorsqu'il s'agit d'un autre Wolfen. Asgarh sentait les regards sur lui, il n'était pas rassuré mais marcha lentement et fier pour montrer qu'il ne venait pas en mal.

Arrivé devant l'entrée de Killyox, un Wolfen lui barra la route, c'était une vieille connaissance d'Asgarh, Ashan'Tyr. Il n'existe pas de Wolfen plus agile qu'elle. Elle restait invaincue en plus d'une centaine de duel. Ashan'Tyr était une Wolfen très convoitée. En effet, en plus d'être une incroyable guerrière, elle était d'une beauté rare. Vêtue presque uniquement avec une légère tunique qui laissait une bonne partie de son corps aux yeux des autres. Elle ravissait un grand nombre de mâles de son clan. Mais si l'un d'eux venait à l'énerver, elle choisirait parmis trois solutions pour lui faire comprendre qu'il n'était pas le bienvenu. Soit elle s'occuperait de lui avec ses crocs et ses griffes, soit, plus finement avec ses deux dagues constamment sur elle, portées à la ceinture, ou encore, avec sa lance placée sur son dos. Asgarh savait qu'elle serait un atout pour la meute et donc la combattre était totalement impensable. De plus, Asgarh n'était pas sûr de pouvoir la vaincre. Il lui faudrait jouer de ruse pour la passer sans avoir à goutter de ses griffes qu'elle avait déjà sorti.

Heureusement Asgarh savait beaucoup de chose sur Ashan'Tyr. Il savait entre autre qu'elle était très vaniteuse. Ainsi, il se plaça fièrement devant elle faisant mine de ne pas être intimidé. Il lui raconta qu'il était sûr qu'un de ses guerriers n'aurait aucun mal à la vaincre. Elle se riait de ses insinuations et n'en tenait pas compte.

Voyant que son tour ne marchait pas, il du ruser plus que d'ordinaire. En effet, Asgarh était l'un des rares chef de meute à garder son titre depuis très longtemps, grâce à, notamment son beau-parlé et sa ruse. Il fit demi-tour en expliquant qu'il était déçu, car, son guerrier avait raison sur le fait que cette soit disant guerrière imbattable, n'était en faîte qu'une lâche qui ne sait même pas accepter un duel. Ces mots firent frémirent la Wolfen qui, sans parler, couru de son plus grand pas jusqu'au territoire d'Asgarh, afin d'aller au plus vite faire ravaler sa fierté à ce Wolfen, pour revenir aussitôt. Mais cela n'intéressait déjà plus Asgarh, il était déjà devant Killyox.

Encore une fois il savait qu'ici ses talents de guerriers ne serait pas suffisant pour convaincre Killyox. En effet, ce dernier était muni d'une lame de poignet grosse comme le poitrail d'Asgarh et au grand damne de celui-ci, il savait qu'il ne pourrait rivaliser. Killyox était un Wolfen assez grand et plutôt fort physiquement. Toujours accompagné par son étendard accroché sur son dos. Il était muni d'une armure assez complète avec, notamment, des épaulettes, des brassards et des jambières. Le regard vif et totalement démuni de patience, Killyox avait souvent, à lui seul, renversé le cours de batailles.

Que dire pour amener ce chef assez fier pour envoyer ses guerriers sur deux fronts à arrêter cette querelle stupide avec ses congénères? L'un de ces fronts se passait contre les créatures non Wolfens au sud et l'autre contre les Wolfens des forets du Nord. Asgarh ne put que lui raconter à lui aussi un grand mensonge. Lui aussi, car, lorsque Ashan'Tyr arriva au territoire des Chiens errants et hurla le nom du présumé guerrier, ce fut un Wolfen d'un âge très avancé qui s' avança. Folle de rage elle ne fit rien au vieux Wolfen et fit demi-tour en direction de son propre territoire.
[A suivre]

Acte III : Première unification

Quel mensonge allait pouvoir convaincre Killyox? Ce grand chef de clan était autrefois un des fervents défenseurs de l'unification mais qui, à cause du temps, perdit de sa hardiesse et laissa les choses empirer. Asgarh le savait cela aussi, ainsi le mensonge fut vite trouvé.

Les hommes, les orcs et les morts s'étaient alliés momentanément contre les Wolfens qui était un race trop menaçante pour eux. Était-ce par ce que Killyox était très naïf, ou par ce qu'il n'attendait seulement qu'un prétexte pour retenter une unification que celui-ci crut Asgarh? Personne n'en sait rien. Mais, Asgarh était arrivé à ses fins pendant qu'Ashan'Tyr venait de faire irruption dans antre de Killyox, qui ne lui laissa pas le temps de parler pour lui indiquer sa mission. Elle devait escorter Asgarh jusqu'à la meute des Wolfens du Nord; et représenter les Wolfens des Crocs de la déesse Lune devant les autres peuple.

Ainsi, toujours rancunière, Ashan'Tyr comprit le mauvais tour dont elle avait été victime. Asgarh avait tout prévu. Ils se mirent en route après qu'Asgarh se soit rassasié. Le chemin fut long, mais se fit sans aucune difficulté. Mais voyons ou en était les autres races à se moment là.

Les humains, toujours blottis dans leur grande ville d'Ironplace se défendait contre les assauts ininterrompus des morts. Ces morts qui, même repoussés, ne diminuait grossièrement pas leur rangs. En effet ils arrivaient toujours à tuer beaucoup d'Humains qui, au bout de quelques heures revenait des abîmes de la mort. Une fois de nouveau debout, ils se mettaient au travail, dans le but d'oter ce qui leur manquait et qui se trouvait encore chez leurs anciens compagnons d'armes, la vie.

Les Orcs quand à eux attaquaient les humains de Laketown pour pouvoir s'approprier les nombreuses mines d'or que la ville protégeaient. Les humains résistaient bien à leur assaillant, mais ceux-ci, toujours plus fourbes, construisaient de nouvelles machines de guerres. Les catapultes, les aéronefs et les béliers étaient le menu quotidien des défenses de Laketown. De plus Laketown était protégé d'un front grâce à un immense lac et d'un autre grâce à une forêt si dense que même les Wolfens pourraient s'y perdre. Ainsi les humains étaient pris entre deux flots hostiles et incessants.

Asgarh et Ashan'Tyr arrivèrent enfin sur le territoire des Wolfens du Nord. Sur le chemin ils avaient arrêté le conflit qui se déroulait à la limite de ces terres. Les Wolfens du clan de la déesse Lune prirent le chemin du retour, non mécontent d'arrêter un combat avec des amis. Asgarh eu la chance de retrouver une amie d'enfance qui avait, peu de temps après avoir eu une querelle avec lui, rejoint les Crocs de la Déesse Lune, du nom d'Irix. Irix, Wolfen femelle, d'une beauté surprenante elle aussi, était une guerrière reconnue, maniant la lance comme nul autre. Une lance au bout double. Une arme redoutable pour quiconque la croisait. Très agile, elle ne portait qu'une armure très légère afin de ne rien perdre en vitesse. Sa rapidité pourrait en étonner plus d'un. Elle était reconnaissable de loin grâce à son casque qui était doté de deux très longues cornes. Asgarh lui demanda de l'accompagner, elle accepta, au grand désarrois d'Ashan'Tyr qui commençait à apprécier le Wolfen, et avait même totalement perdu sa rancune, ce qu'elle n'avait jamais fait auparavant.

[A suivre]

Acte IV : La rencontre avec les Wolfens du Nord

Asgarh arriva enfin devant le lieu de vie du chef des Wolfens du Nord. Il ne savait pas qui cela pouvait être. Cela était dû au fait qu'il n'était pas revenu ici depuis son enfance ou il avait fait la connaissance de nombreux Wolfens incroyablement gentils, et aussi du fait que ce clan avait pour réputation de changer de chef tous les jours. Réputation infondée, mais, qui parfois, mis le doute sur la différence entre le clan des Crocs de la Déesse Lune et les Wolfen du Nord car, ces derniers étaient dit très lunatique.

Lorsque le chef sortit de son antre, Asgarh pu voir un Wolfen ayant une crinière comme personne. Le torse nu, et les jambes recouvertes de jambières, le Wolfen portait aussi une lame ciselée et une épée courte. Immédiatement, le sourire revint sur les lèvres d'Asgarh, qui avait reconnu son ami d'antan Kassar. Il était surnommé Kassar le fugitif car il fut, au cour de sa vie chef de plusieurs clans, mais souvent chassé à cause de ses cotés trop meurtriers. Il ne fallu pas plus de cinq minutes à Asgarh pour convaincre son ami de le rejoindre dans la quête de la réunification.

Ainsi, deux grands clans étaient réunis. Le prochain sur la liste d'Asgarh, était les Wolfen du Vent. C'étaient des Wolfen qui n'étaient plus des loups massacrant leurs ennemis mais de terribles assassins. Plusieurs survivants miraculé diront que ce n'était pas des Wolfen qui tuaient leurs amis, mais le vent, guidé par les âmes des Wolfens morts autrefois. Il faut avouer que lorsque l'on survit par miracle il n'est pas rare de dire n'importe quoi, mais passons.

Ces Wolfens étaient difficilement atteignables pour la simple et bonne raison qu'il n'avaient pas de territoires, ils étaient nomades. Tout ce que savait Asgarh était que leur chef se nommait Le veilleur. Il en parla à ses deux camarades Ashan'Tyr et Irix, qui ne furent d'aucune aide. Mais Kassar, qui avait beaucoup voyagé, connaissait un endroit ou ces Wolfens nomades venaient régulièrement pour se regrouper. Le problème était que ce lieu était de l'autre coté d'un petit village Orc. Kassar toujours aussi joyeux décida de servir de guide et de garde à la petite troupe jusqu'à la Tanière de vent. Finalement il ne quittera jamais ce petit groupe.

Kassar n'imposa qu'une seule chose, la venue avec eux de son chien de garde comme il l'appellait, Onyx. Rien que de voir ce Wolfen, avait pour effet de réfreiner les envies de duels de nombre de Wolfens. Pour ceux qui s'y tentaient, ils finirent tous massacrés, au sens propre du terme. Ce Wolfen devait faire à peu prêt le double de largeur d'Asgarh et au moins cinquante centimètre de plus en taille, imaginez le poids. Pas très futé, mais d'une incroyable efficacité à tuer, Onix fut tout de suite apprécié dans le groupe.

[A suivre]

Acte V : La bataille du vent

Il faisait nuit lorsque nos cinq Wolfens arrivèrent aux abords du village Orc. Petit village nommé Bran-O-Kor gardé par le non moins redoutable Avangorok. Il était un Orc assez petit de taille, mais fort comme un géant. Il se servait d'une lance comme arme qui avait la faculté de s'ouvrir en deux pour découper ses adversaires. Âpres une brève étude de la situation, les cinq Wolfens savaient qu'il y avait aux alentours de cinquante Orcs dans le village, autrement dit, ils ne pourraient pas seul y arriver. Sauf si, l'effet de surprise leur donnerait un avantage suffisant. Ils leur faudrait être rapide et précis.

Ils avaient remarqué que le village de Bran-O-Kor était composé de paquets de huttes. Chacun de ces regroupement comprenait entre quatre et sept huttes. A cinq, cela pouvait être jouable. Ils attendirent bien tard dans la nuit avant de frapper.

Le village dormait, et fut réveillé par les cris des Orcs mourants des crocs, griffes ou armes des Wolfens. Heureusement pour nos héros les Orcs n'ont pas une voix qui porte beaucoup donc lorsque les Wolfens les égorgeaient, ils ne laissaient pas entendre de très grands hurlements.

Malheureusement tout ne se passa pas comme prévus, car ils finirent par êtres attaqués par une quinzaine d'Orcs en même temps pendant que d'autres arrivaient. Les Orcs, toujours aussi verts de peaux, étaient pour la plupart de simple soldats. Armés tout de même de grosses lames ou de haches, ces Orcs étaient des ennemis féroces même si leur petite taille ne le laissait pas forcement croire. Trois chacuns n'étaient pas la pire des situations qu'un Wolfen rencontre dans sa vie alors ils foncèrent têtes baissées dans le tas. Même si pour la plupart de nos héros la situation ne posait pas réellement de problème, il n'en était pas de même pour Asgarh qui était inévitablement le plus faible des cinq Wolfens. Etait-ce un coup de malchance qui fut qu'il soit attaqué par les trois Orcs les plus forts du village ou simplement un signe du destin?

Ses amis ayant finit de dévorer et découper leurs Orcs respectifs vinrent en aide les uns apres les autres à Asgarh, qui heureusement ne fut pas bléssé lors de cette lutte. Mais ils entendaient des bruits au loin, peut-être que les Orc étaient plus qu'ils n'avaient pensé, car la puissance des cris démontraient un grand nombre d'Orc, en plus Avangorok ne s'était pas encore présenté. Ils décidèrent de fuir le village et de continuer leur chemin, car même si ils seraient à découvert pendant quelques lieux, ils pourraient perdrent leurs ennemis dès la prochaine forêt. Mais à ce moment là une lance vint se planter dans la hanche d'Onix. Onix, Wolfen indomptable, surmontant sa douleur et retira immédiatement la lance, on aurait crut voir un enfant enlevant une épine de son doigt. En effet Onix était vraiment impréssionant de vitalité. Mais à cause de cela il ne pourrait pas courir assez vite pour échapper à leurs poursuivant. Alors il ne restait plus qu'une solution, combattre.

Malheureusement ce fut trentre Orc qui arrivèrent dont Avangorok, qui se tenait au premier rang, de toute façon derrière il n'aurait rien vu. Les Orcs s'étaient arrétés un peu avant les Wolfens, comme pour les désemparer, mais il en faut plus que cela pour faire peur à un Wolfen. Ce fut Onix le premier à se jeter sur les Orcs. Mais tout Wolfen qu'ils étaient dans un combat à six contre un la victoire était impossible.

C'est à ce moment là que l'incroyable arriva, une vingtaine de Wolfens tous fin de corps et envellopés de capes et de longs manteaux arrivèrent,et, à la vitesse de l'éclair, les Orcs faillirent et moururent jusqu'au dernier. Avengorok qui s'était battu comme un démon avait finalement péri à cause d'un croc d'Onix planté dans son bas ventre, de plus, au vu de la taille du croc et d'Avengorok on pourrait dire que c'était aussi sa hanche. Heureux hasard, car c'était Avengorok qui avait envoyé la lance jusqu'à Onix.

Une fois le village Orc décimé, les Wolfens prirent un peu de repos, pendant qu'Asgarh allait voir un Wolfen qui se tenait à l'écart des autres. Il le savait avant qu'il le dise mais il préférait en être sur. C'était Le Veilleur, et les Wolfens qui les avaient sauvé étaient les membres du clan des Wolfens du Vent. Le Veilleur était un Wolfen qui avait du être autrefois un shaman. En effet les guerriers Wolfens et les Shamans Wolfens n'avaient pas les mêmes caractéristiques physiques, et la partie la plus flagrante de diversité était les traits du visage.

Le Veilleur tenait d'une main une lance grande comme deux fois sa taille et avait pour arme une lame de poignet recourbée à l'autre bras. Il fit quelques démonstrations à Asgarh qui fut empli d'admiration, le veilleur était impéssionant de rapidité et possédait une force d'attaque et de défense non négligeable.

Apres maintes négociations, Le Veilleur dû avouer que le sauvetage avait été réalisé dans le but d'accéder au droit de réintégration à un clan. Les années d'éxiles avaient usé le moral du Veilleur. Il accepta donc d'envoyer ses hommes chez les Wolfens du Nord qui avaient pour chef depuis le départ de Kassad, le petit frère du meilleur guerrier des Wolfens du vent, Ophyr. Celui-ci était aussi surnomé le Gardien car jamais personne n'avait pu toucher à tout ce qu'il lui plaisait de garder.

Les Wolfens passèrent la nuit dans le village Orc et au petit matin les guerriers partirent pour le térritoire des Wolfens du Nord pendant que nos amis, accompagnés du Veilleur et d'Ophyr le Gardien,partirent plus profondément dans les terres Orc à la recherche des Wolfens du désert.

[A suivre]

Act VI : La fin des armées de Shaka Umruk

Les terres Orcs n'étaient que désolations, en effet elles étaient les conquêtes des Orcs lors des batailles contre les Humains qui perdirent peu à peu du terrain pour n'avoir aujourd'hui que trois grands bastion, Laketown, Ironplace et Windfear. La traversé ne fut pas difficile pour les sept Wolfens car presque tous les Orcs étaient au front contre Laketown dernier obstacle avant d'atteindre Windfear, la capitale humaine. Ainsi il ne fut pas rare à notre petit groupe de tomber sur des villages abandonnés ou à la limite du vide ce qui ne posait aucun problème. La meute des Crocs unis, c'était le nom du groupe de nos sept Wolfens, trouvé pas Kassar, qui laissait toujours la bonne humeur règner au sein du groupe, arriva pres des terres de la meute des Wolfens du désert.

Ces Wolfens avaient pour réputation de ne pas aimer que l'on rentre chez eux sans permission, mais cela Asgarh n'en savait rien. Une fois que les Crocs unis furent bien avancés dans les terres ils tombèrent sur un campement Orc, de taille en plus, il devait y avoir plusieurs centaines d'Orcs attendant surement pour aller affronter les Wolfens du désert. Les crocs unis contournèrent le campement et se hatèrent jusqu'aux Wolfens du désert.

Une fois sur place, l'accueil fut chaleureux, les Wolfens les avaient immédiatement attaqué sans leur laisser le temps de parler. Ne fesant que défendre sans blésser leur assaillants, les Crocs unis finirent encerclés par un nombre impréssionant de Wolfens. Un Wolfen du groupe se détacha et avança vers Asgarh, lui racontant qu'il avait entendu parlé d'un minuscule groupe de Wolfen qui tentaient une unification. Asgarh était heureux d'entendre cela mais ce fut de courte durée. En effet le Wolfen était le chef de la meute des Wolfens du désert, Németis. Il avait pour arme une lance avec un bout en forme de demi-lune, il avait une longue chevelure et un masque sur le visage.

Németis expliqua qu'il se moquait de la réunification puisqu'il avait déja fort à faire avec les Orcs de la région. Asgarh lui raconta pour le campement qu'ils avaient croisés se qui conforta Németis dans son idée. Asgarh fit un pacte avec Németis apres de longue discutions. Si Asgarh menait la meute à la victoire contre le campement Orc alors, ces derniers rejoindraient la meute des Wolfens unifiés. Asgarh savait que le campemant était provisoire et donc que cela lui laissait que peut de temps pour éfléchir et trouver une solution. Les Wolfens du désert contaient une centaine de guerrier et un shaman.

Le shaman était la solution à leur problème. Asgarh partit donc pour l'antre du shaman qui était un peu à l'écart des autres Wolfens. C'est ainsi qu'Asgarh fit la connaissance de Bysra, dit le shaman noir du fait qu'il pouvait faire pleuvoir le ciel du pluie de pétrole noir. Il avait aussi,entre autre, le pouvoir de faire de son champ d'action un terrain embrumé au point de ne même pas pouvoir voir le bout de son nez. Asgarh avait donc tout ce qu'il lui fallait.

Il expliqua donc son plan à Németis qui l'approuva. La combat serait le soir même, les Wolfens étaient très excités et impatients de se battre. Lorsque la nuit tomba les Wolfens se mirent en route. Une fois arrivé aux abord du campement, Bysra commenca une série d'incantation qui eurent pour effet de faire pleuvoir le ciel exactement au centre du campement, une fois qu'un grand brasier fut allumé causant au passage la perte de plus d'une cinquantaine d'Orcs, le temps pour Bysra de se reposer n'était pas venu, il incanta de nouveau et le campement fut completement submergé par une brume épaisse.

Les Wolfens comprirent et se jetèrent contre les Orcs qui ne pouvaient pas se défendre car ils ne voyaient rien. Bien que le sens de la vue des guerriers Wolfens était perdu, il leur restait leur plus grand atout, l'odorat, et je peux vous dire qu'un Orc cela sens à dix mètres à la ronde.

Une fois la bataille terminée, la brume se leva, le brasier s'arreta, et les Wolfens constatèrent que les Orcs avaient été anéantis jusqu'au dernier sans qu'ils aient pu tuer beaucoup de Wolfen, seul un Orc avait réussi à contrer les assauts de quelques Wolfens sur sa propre personne. En fait cet Orc était Shaka Umruk, un Orc ayant un sens de l'intuition plus grand que chez n'importe quel autre Orc, mais seul il ne pouvait vaincre beaucoup de Wolfens. Bien que très petit de taille, Shaka Umruk pouvait causer de grande pertes chez ses ennemis grâces à de nombreuses bombres qu'il gardait tout le temps sur lui. Il était armé d'un gourdin fait d'os et de crocs de Wolfen. Sa mort fut causée par une de ses propres bombes qu'Asgarh eu l'intélligence de lui renvoyer. La perte de cet Orc pour leur clan était importante car il était un excellent stratège, mais cela Asgarh ne pouvait le savoir.

C'est ainsi que sur le champ de bataille, Németis accepta de rejoindre la meute des Crocs unis et d'envoyer son armée chez les Wolfens du Nord qui étaient les plus proches d'eux. Les Wolfens du Nord eurent donc la bonne surprise de voir arriver une centaine de Wolfens de plus à leurs rangs. Mais Asgarh savait que cents Wolfens n'étaient pas suffisants alors il lui faudrait recruter la plus grande meute, celle des Wolfens d'Yllia.

Cette meute rasssemblait presque quatre-vingt dix pour cents du clan Wolfen. Mais Asgarh savait que pour rejoindre cette meute il faudrait passer par les forêts gardés par les dangereux elfes Cynwälls commandés par la redoutable Nelphaëll, puis le terres cendre détenus par les Gobelins de No-Dan-Kar qui possédaient des trolls de guerre et était dirigé par Bazûka. Il savait que c'était impossible pour les Crocs unis. Il chercha des information aupres de ses camarades afin de pouvoir trouver une solution. Il apprit de Kassar que les elfes étaient aux mains d'une guerre contre les morts depuis longtemps. Németis lui apprit aussi que les gobelins menait une campagne contre les Ophidiens, êtres mi-serpents, mi-humains. Leur combat pour la survit de leur espèce était le même que celui des Wolfen. Asgarh en conclut donc qu'il faudrait au groupe du courage et surtout de la volonté pour atteindre la meute des Wolfens d'Yllia.

[A suivre]

Act VII : La terre se rebelle

Prêts à partir, les Crocs unis eurent une bonne surprise, Bysra n'était pas partit avec le reste des Wolfens du désert et avait choisit de faire le chemin jusqu'a la forêt du sang gardienne du térritoire des Wolfen d'Yllia. De plus il apporta une bonne nouvelle à Asgarh, son petit frère, bien plus puissant que lui était un des amis proches du chef des Wolfens d'Yllia. Son petit frère se nommait Syriak l'intrépide. Il connaissait de nombreux sorts qui avaient souvent sauvé les Wolfens d'Yllia.

C'est ainsi que les Crocs unis partirent des terres Orcs pour se diriger vers les forêts des Cynwälls. Il ne fallut que très peu de temps au groupe pour arriver aux abords de la forêt. Les Wolfens hésitairent à entrer. Ce fut Onyx qui fit le premier pas. Tout le monde le suivit par la suite.

Après déjà deux jours dans cette forêt le groupe eu la malchance de tomber nez à nez, dans une clairière, avec un élémentaire de la terre entouré d'une multitude de familiers. L'élémentaire devait faire la taille d'un homme, mais on aurait dit un rocher en forme d'homme coincé dans une armure. Au premier coup d'oeil les Wolfens se demandèrent qu'est ce qui était plus solide, l'armure ou le corps de l'élémentaire. Les familiers ressemblait à des nains de pierres, ou des petites statues de gobelins. Certains racontent que les familiers de la terre ne sont que des rochers s'étant posés sur les corps des morts et qui les fesaient bouger. En revanche si on en détruit un, il n'y a que de la pierre donc leur naissance reste toujours un mystère.

Sans une once d'hésitation Onix fonça directement vers l'élémentaire, suivit de près par Kassad. Onix avait déja aplatit plusieurs familiers dans sa course vers l'homme de pierre. Les autres prirent soin de s'occuper des familiers. Seul Bysra restait en arrière, il était agé et peu doué pour les combats au corps à corps. Le combat fut rude entre les familiers largement en surnombre et les Wolfens qui ne pouvaient utiliser ni leur griffes ni leurs crocs. Ils s'appliquaient à détruire par le biais de leur grande force ces morceaux de pierres plutôt agréssifs. Mais le combat que menait Kassad et Onix était bien pire encore.

En effet l'élémentaire ne possedait comme arme uniquement sa force qui devait bien égaler celle d'onix. Ainsi ce n'était pas rare qu'Onix et l'homme de pierre soit en confrontation directe, mains dans les mains, forçant de plus qu'ils pouvaient afin de faire chutter l'autre. Pendant ces moments Kassad en profitait pour harceler de coup le corps et l'armure de l'élémentaire, mais il en fallait plus que cela pour le détruire.

A un moment Onix perdit un de ces petits duels, et finit par terre avec l'élémentaire assit sur lui. Kassad ne pouvant rien faire à cause du poids de l'ennemi, continuait d'attaquer l'élémentaire. Lors d'une de ces attaques, Kassad prit un violent coup de poing dans la figure, le fesant valser à plusieurs mètres de là et l'assomant par la même occasion. La situation plus que critique ne mit que peu de temps à se renverser. Onix usa de toutes ses forces une fois de plus et arriva à soulever l'élémentaire. Une fois debout, avec l'homme de pierre dans les bras, Onix prit un malin plaisir à serrer de toutes ses forces.

Finalement à force de coups l'élémentaire fini par exploser littérallement, pour ne laisser apparaître qu'une armure par terre et quelques rochers. On ne pouvait plus voir ni main, ni yeux sur ces pierres, s'était comme si il n'y avait jamais eu que l'armure.

Les familiers avaient eux aussi rendu l'âme avec la mort de leur maître. Ainsi Asgarh prit soin d'emmener l'armure avec le retse de la troupe avant de partir plus profondement dans la forêt apres une légère halte de repos.

[A suivre]

Act VIII : La chute de Kaïn

Ils se devaient d'avancer bien qu'ils sentaient qu'ils se raprochaient dangereusement des elfes de Cynwälls. Sentant un danger proches, les Wolfens avancaient prudement. Ils purent même approcher une clairière sans être vu des elfes l'occupant. Asgarh vit une demi-douzaine de guerriers elfes, ils avaient une longue épée et un puissant bouclier. Ils étaient vétus d'un casque, d'une armure lourde et d'une jupe. Tout était de couleur argenté chez eux, même leur peau. C'était des Asadars Cynwälls. Mais Asgarh savait qu'ils ne serait pas le principale problème. En effet il avait vu un autre elfe, celui-ci bien différent. Il avait beau posséder la même armure et le même type de casque, il était détenteur d'une épée bien plus longue que celle que porte les Asadars et n'avait pas de bouclier. En revanche on le voyait souvent sortir un, voir même parfois deux crânes des plis de sa longue cape. Les Wolfens écoutaient attentivement les elfes mais ne pouvait comprendre leur language. Puis Onix, lui qui ne parlait jamais dit d'un coup Galhyan. Asgarh comprit que c'était le nom de se terrible personnage. Etait-il un guerrier ou un magicien? Asgarh ne pouvait le savoir, mais il devait se méfier de lui. Il prit donc la décision d'envoyer Ashan'Tyr pour le maîtriser. Comme il ne s'avait pas quelle genre d'elfe c'était il lui indica simplement de ne pas l'attaquer mais de le tenir immobile et surtout l'empecher de parler car il n'est pas nouveau que les mages utilisent les mots comme armes. Une fois les instructions terminés, les Wolfens se répartirent autour de la clairière. Asgarh avait demandé à Bysra d'user de son pouvoir, mais celui-ci refusa. Il savait que les elfes voyent même la nuit et contrôles souvent les éléments, donc une brume ne serait pas éfficace et une pluie pourrait se retourner contre eux. Mais Bysra, au grand étonnement d'Asgarh prit position come tout le monde. Asgarh sortit le premier de sa cachette, immédiatement immité par les autres Wolfens qui se ruèrent sur leur énnemis tentant de se servir de l'effet de surprise. Bysra ne sorti pas en revanche et Ashan'Tyr fonçait droit vers Galhyan sans se préoccuper des Asadars. Une fois à son niveau, elle vu qu'il n'était pas le moins surprit. Elle n'aimait pas cela mais choisi quand même de l'affronter. Ainsi elle se jeta sur lui, le bloqua à terre, lui mit une main devant la bouche, mais Galhyan ne fit pas le moindre geste, il se laissa faire. Les Asadars furent vites exterminés. Asgarh ne comprenait pas pourquoi ils n'avaient pas rencontré une plus grande résistance. Tout le monde fini par se réunir autour d'Ashan'Tyr et de son prisonnier. Asgarh fit signe de le lacher, elle s'éxécuta. Il se leva et parla mais pas dans la langue des elfes, dans la langue des hommes. Les Wolfens étaient capables de comprendre ce language et purent écouter tous ensemble le récit de Galhyan. Il fut harcélé de question afin de savoir pourquoi ils n'avaient pas opposé une grande résistance. Au moment de répondre, Ashan'Tyr qui était derrière Galhyan vit les Asadars se lever. Il manquait des bouts de chairs à certains, d'autre des membres entiers et pourtant ils se levaient. A la vue d'Ashan'Tyr tout le groupe se tourna et vit les morts se lever. Asgarh comprit enfin; les elfes étaient atteind d'une maladie produite per les morts. Et surement que Galhyan le savait et ne voulait risquer de devenir un tel être. Mais le problème n'était pas là, il fallait se débarasser des ex-Asadars. Onix prit une direction opposé aux assaillant ce qui mit le groupe malalaise, comment Onix, le Wolfen sans peur pouvait fuir un combat? Etait-ce le fait d'avoir la mort en face ou seulement la vue de cadavres? Les Wolfens choisirent quand même le combat et se ruèrent sur les cadavres. Mais à chaque fois qu'ils en anéantissait un, il finissait par se releve. Le combat n'en finissait pas. Asgarh commençait à fatiguer. Un des Asadars mort allait lui donner un coup d'épée sirectement dans le poitrail lorsqu'une épée l'arréta net. Asgarh tourna la tête et vit Galhyan. Il lui avait surement sauvé la vie. Mais Galhyan ne s'arreta pas là il entra dans la bataille qui se déroulait dans la clairière. Mais rien n'y fesait les morts revenait toujours du royaume des ombres, lorsque d'un coup Onix réapparut et à se moment là exactement, Bysra entra dans la clairière aussi. Bysra couru jusqu'aux Asadars mort les toucha sans s'arreter, juste du bout des doigts. Rien que deux doigts de Bysra suffisait la ou tout l'art de la guerre des Wolfen n'avait aucun effet. En effet les Asadars étaient tombés et ne se relevaient plus. Asgarh voulu connaître l'énigme de se mystère. En fait Onix de sa grande taille vit un être un peu en dehors de la clairière. Il avait foncé sur lui afin de lui faire rendre l'âme. Bysra qui pouvait utiliser de sort de vie savait qu'il y avait un autre magicien dans les environs et attendi qu'Onix l'ai déniché et tué pour entrer en action. Les Asadars avaient fini par aller pour de bon dans le royaume des ombres à cause du sort de soin qu'avait lancé Bysra sur ses doigts, et comme on le sais, le contact entre la vie et la mort est fatal. Apres une brève discutions les Wolfens accompagnés de Galhyan partirent voir le magicien mort. Galhyan le reconnu aussitôt c'était Kaïn dit le Fléau, grâce aux grandes cornes de son casque, mais aussi à ses armes. Il y avait pres du corps une longue épée de fer et un fléau, d'ou son nom? Pas uniquement car il était un puissant mage des armées des morts ayant l'unique pouvoir de rendre tout personne qu'il a vu attein du fléau de Kaïn, ainsi si cette personne venait à mourir avant Kaïn, alors elle se relèverait afin d'aider les morts dans leur tache. C'était comme cela qu'il avait maudit les elfes de Galhyan. Aucune attaque contre lui n'avait jamais marché et Onix, seul Wolfen avait réussi à le térrasser. Galhyan remercia profondement le Wolfen et les invita tous dans sa demeure qui était un peu plus loin dans la forêt.

[A suivre]

Act IX : Les morts passent à l'action

Ils s'enfonçaient toujours plus profondement dans la forêt en suivant Galhyan. Ils débouchèrent sur un lieu ou les arbres ne parraissaient jamais finir. Les Wolfens étaient épatés de voir une telle forêt. D'un coup de nombreux elfes apparurent. Asgarh qui était proche de Galhyan regarda ces nouveaux venus, certains portaient de grandes armures et possédaient un haume laissant sortir leur longue chevelure elfique. Armés de deux épées courtes ils ne semblaient pas être de mauvais guerriers. Galhyan voyant Asgarh regarder les guerrier lui dit qu'il s'agissait là des guerriers constructs. Puis Galhyan montra des elfes vetus d'armures plus légères, munis de deux grandes épées et qui avait leur visage caché par un foulard à la méthode des voleurs. C'était les Varsÿms, des guerriers aussi agiles que ne pouvait l'être un elfe et rapide comme le vent. Mais la plus grande partie des elfes ici présent étaient composé d'Asadars et d'archer qui n'étaient autre que les chasseurs d'azur vétus d'une armure légère mais qui offrait une grande protection et munis d'arc ou d'arbalète. Au regards des elfes les Wolfens n'étaient pas les bienvenus. On pouvait lire sur le visage des Elfes un mélange de joie à l'idée de retrouver leur chef mais de crainte à la vu des loups. Puis, une elfe arriva un peu après et se plaça devant le groupe. Elle portait une longue jupe et une armure légère ainsi qu'un haume typiquement elfe. Elle tenait à la main un bâton. Asgarh lui demanda qui elle était. Il apprit par la suite qu'elle fesait partie des Synchronïme une catégorie d'elfe qui s'était déja à l'époque presque éteinte. Elle finit par faire entrer tout le monde dans le village. La soirée fut belle, les elfes avaient finis par accepter les Wolfens, de toute manière ils navaient pas le choix, car dans le cas contraire la Synchronïme le leur fesait payer cher. A la fin de la soirée, Asgarh alla voir Galhyan pour lui demander ce qu'il comptait faire. Maintenant que Kaïn était mort son peuple pourrait de nouveau se battre sans crainte donc il avait prévus d'emmener tout le monde au village de Nelphaëll afin de la soutenir contre les morts. Asgarh pactisa avec lui et donc le lendemain ils allait partirent pour le nord. Malheureusement aucun elfe ne quittera jamais plus cette demeure, en effet pendant la nuit le village fut attaqué par d'inombrables morts. Ce fut Le Veilleur qui reveilla tout le monde, lui qui ne dormait peu vit le ciel s'assombrire encore plus qu'il était possible et de ses yeux percants vit des garguilles qui se dirigeaient dans leur direction. Les gargouilles ne sont rien de plus que la réincarnation de l'âme, ayant pour capacité de se transformer en pierre quand elle le veulent afin d'augmenter leur vitesse de régénération. Elles ressemble aux demons revenus de l'enfer dotés d'ailes. Elles étaient là pour anéantirent les chasseurs d'azur, car une armée marchante ne peut faire le poids face à eux qui sont toujours perchés dans les arbres. Mais les gargouilles ne sont pas suffisantes pour détruire un village Elfe alors en plus d'elles Le Veilleur put apperçevoir des paladins noirs, et en nombre. Les paladins noirs sont des hommes tombés au combat lors de batailles contre les morts, aujourd'hui il ne sont plus que cadavre en décomposition dans une armure complete de la tête au pied au point de ne laisser même pas la puanteur de la putréfaction sortir. Armés d'une épée et d'un bouclier ils sont de tailles à rivaliser avec les Asadars. Ainsi la bataille fit râge dans le petit village elfe. Les elfes tuaient beaucoup des morts qui heureusement n'avaient pas la capacité de ce relever. Mais ils étaient trop nombreux, les elfes même aidés des Wolfens furent vite débordés. Asgarh voyait que le combat était perdu d'avance, alors il regroupa sa troupe et alla voir Galhyan pour tenter de le convaincre de fuir. Un fois pret de lui Gallhyan parla le premier, expliquant à Asgarh que son groupe n'avait pas à mourir pour les elfes et donc de quitter le village pendant la bataille et de fiur vers le nord. Tout ce qu'il désirait était que les Wolfens partent prévenir Nelphaëll de la situation. Asgarh voulu rétorquer et proposer à Galhyan de les accopagner lorsqu'un mort, bien différent des autres; arriva lentement et fier. Il avait des sabots à la place des pieds,un casque doté de cornes de bouc. Il était enveloppé d'une armure tachés de toute part de sang. Il pointait une épée courte en direction de Galhyan et se tenait appuyé sur une épée longue qui devait surement avoir été faite en enfer. Quand Asgarh eu fini de regarder le mort il vit que Galhyan courait dans la direction du mort en criant le nom de ce térrible être, Alderan. Un ennemi à ne pas prendre à la légère. Mais Asgarh n'était pas prèt à mourir ici, donc avec sa troupe il partirent juste apres que Bysra n'ait allumé un grand feu de joie dans le village afin d'éliminer le plus de guerriers possibles des rangs des morts. Les Wolfens coururent, longtemps, vers le nord, jusqu'a ce qu'ils ne puissent plus avancer. Pendant ce temps Galhyan était en plein combat avec Alderan. Galhyan ne fit pas honte à son clan mais finit par céder sous les assauts du seigneur des ombres. Galhyan tombait en voyant un sourire sur le cadavre ambulant avec en fond son village qui n'était plus qu'un énorme brasier. Avant que Alderan lui prene la vie Galhyan laissa une larme couler le long de chacune de ses joues et lorsque ses yeux se fermèrent pour toujours le seigneur des ténèbres hurla de joie et de plaisir. Ce cris ce fit entendre jusqu'aux Wolfens, qui, croyant l'énnemi à leur trousses repartirent immédiatement. Ils finirent par arriver de nuit pres du village de Nelphaëll, Asgarh demanda alors à Onix de pousser son plus beau cris. Il s'éxécuta. Nelphaëll savait que les Wolfens arrivaient puisque Galhyan avait envoyé l'un de ses guerriers pour la prévenir. Ce fut Nelphaëll en personne qui les invita à entrer dans le village puis dans sa demeure. Elle possédait des cheveux d'un blond tel qu'on aurait de l'or. Armé d'une énorme arbalète pour ses tirs de longues distances qui sont fatals même pour un Wolfen, ou d'un épieu dont elle avait une maîtrise parfaite. Elle ne posa pas de question à propos de Galhyan, et lorsqu'Asgarh voulu prononcer son nom, elle l'arreta. Elle savait. Comment? Ceci restera un mystère pour les Wolfens. La moitié de leur voyage était fait, mais rien n'était encore vraiment terminé.

[A suivre]

Act X : A la recherche du feu

Les Wolfens savaient que pour passer ils devraient aider Nelphaëll dans son combat contre l'armée des morts. Mais ce qu'il ne savait pas c'étaient comment. Comment neuf Wolfens pourraient à eux seul retourner sa situation? Ainsi les débats furent long entre Asgarh et Nelphaëll. Il arrivairent à un pacte qui leur convenait mutuellement. Les Wolfens allaient ramener ce que l'on appellait courament l'élémentaire de feu mais qui était nommé le dieu des flammes par les Cynwälls. Asgarh avait été prévenu que la tâche serait rude car un élémentaire ne se laisse jamais guider. Mais asgarh accepta et donc dès le lendemain ils furent en route en direction de l'antre de l'élémentaire. Apres seulement quelques heures de cela, la température avait grimpé de plusieurs degrée de plus que la normale. Enfin il arrivèrent à ce que l'on aurait pu appeller un couloir de flammes. En effet à la sortie de la forêt se trouvait tout un domain en feu et on pouvait voir des chemins déssinés par les flammes. Sans grande assurance les Wolfens emprunterent les chemins qui s'offraient devant eux. Soudain devant eux se dressairent des familiers, qu'ils aient l'air de gobelins, de diablotins, de magiciens nains ou autre, ils étaient tous passés par les flammes sans la moindre difficulté. Onix s'appretait a foncer comme à son habitude mais la main d'Asgarh l'en empécha. Ce dernier s'avança et ouvrirt le dialogue avec les familiers, ils n'étaient pas méchant, et acceptairent de consuire les Crocs unis jusqu'a la Tanière du feu. Mais Asgarh fut à nouveau prévenu du mauvais caractère du propriétaire des lieux. Une fois en face de l'élémentaire du feu, quelle ne fut pas l'étonnement des Wolfens. En effet la forme de l'élémentaire était plutôt troublante. C'était un brasier entouré d'une armure qui se déplaçait comme les flammes qu'elle enveloppait. L'armure se terminait par des sortes de gants munis de trois griffes aussi grandes que des épées. Les Wolfens était vraiment subjugué par cet être diforme. Asgarh prit sur lui et avança et entama la discution, expliquant la situation. L'élémentaire n'écoutant pas vraiment son histoire fini par refuser catégoriquement d'aller aider les Elfes, il n'y voyait pas d'intérêt. Asgarh demanda alors qu'est ce qu'il pouvait faire pour le convaincre d'aider ne serait-ce qu'une fois les Efles Cynwälls. L'élémentaire lui dit qu'il n'avait besoin de rien. Asgarh tenta sa dernière chance et parla à ses amis en fesant mine de partir. Il disait que c'était terminé, que l'élémentaire de feu ne bougerait pas, que c'était tout comme l'élémentaire de pierre sauf que lui il les laissaient partir. Puis quand le mot terre fut di, l'armure de feu parla haut et fort, demandant si c'était bien les Wolfens qui avaient tué l'élémentaire de terre. Asgarh ne voulait pas mentir et répondit la vérité. Tout d'un coup la pièce s'illumina. L'élémentaire de feu parraissait rouge de colère, mais en fait il était joyeux comme ce n'était pas permis. Il remercia les Wolfens et décida de les suivres afin d'aller aider les Elfes Cynwälls. Sur le chemin du retour Asgarh osa demander à leur nouveau compagnon pourquoi il avait été aussi heureux lorsqu'il appri la mort de l'élémentaire de la terre. Il lui expliqua que la planète possèdait un énorme pouvoir qu'elle redistribuait de manière égale à chacun des élémentaires. Donc si un élémentaires venait à mourir tous les autres deviendraient plus fort. Asgarh osa une autre question qui était, alors que la mort d'un autre élémentaire le rendait plus fort, pourquoi ne pas l'avoir éliminer lui-même. L'élémentaire expliqua que la planète interdit toute querelle entre nous donc on n'a pas le droit de tuer nos semblables sinon on perd tous nos pouvoirs. Finalement le groupe arriva au village, mais ce dernier était desert. L'élémentaire qui pouvait sentir les fortes énergies, mena tout le groupe vers un lieu ou devait se dérouler une grande bataille car les flux de vie et de mort n'arrétaient pas de varier.

[A suivre]

Act XI : La bataille des Cynwälls

Ils coururent et virent la plus grande bataille qu'il n'avait encore jamais vu. Des milliers de morts étaient en train de se battre contre tous les Elfes Cynwälls, qui se devait d'être un bon millier. Les rangs des morts ne comprenait pas de gargouilles mais Asgarh pu reconnaître aisément les paladins noirs. Au passage il vit Nelphaëll au prise avec un bon nombre d'énnemis. Asgarh demanda au groupe de faire ce que chacun trouvait bon de faire mais qu'il fallait tout pour proteger Nelphaëll. Asgarh fonca dans la direction de Nelphaëll accompagné d'Onix et de Kassad. Elle ne fut pas mécontente de les voirs arriver. Elle leur expliqua que les morts avaient attaqué peu appres leur départ, mais que les Elfes avaient brillement vaincus, mais à ce moment il ne savait pas que ce n'était que le reste d'un division inférieur des rangs des morts afinde juger de l'étendu des capacités Elfes. Tout en bavardant les quatres confrèrent luttaient contre des paladins noirs mais pas uniquement, ils trouvairent devant eux de nouveaux ennemis. Des goules, corps encore en décomposition debout et munis d'une lames longues dans chacun main lançait souvent des attaques kamikaze contre les rangs elfes en se jetant sur les pauvres elfes qui avaient beau les découper, se n'était pas rare qu'au passage la goule trouve le temps de décapiter son agrésseur. A celles là il fallait rajouter les zombies qui n'avaient aucun contrôle de leur mouvement fesant n'importe quoi avec leur unique arme, une énorme faux. De plus lorsque cette dernière venait à être séparé du corps, le zombie ne prenait pas le temps de la récupérer, préférant se jeter sur ses ennemis dans le but de les mordre, car même si la morsure n'est pas très douloureusement elle entraîne la mort automatiquement, et une fois que celle ci est atteinte la victime se relève en zombie comme son meurtrier. Mais si ce n'était que cela, la victoire aurait été possible, mais il fallait encore ajouter les anges morbides, êtres ressemblant aux divinité mais juste en décomposition, ou completemtn squellétique. Muni d'une lame à dents, ils survolent le champd e bataille pour plonger dans les rangs ennemis dans le but de décapiter le plus qu'ils peuvent. Le problème avec eux c'est que comme ils n'ont presque plus que les os dans le corps, les faibles flèches des Elfes étaient assez souvent inutiles. Mais tous le monde fesait de son mieux. Bysra incentait et soignait à tout vas pendant que les autres Wolfens s'occupaient de réduire les rangs ennemis. Petit à petit les morts perdaient en nombre. C'était le moment de frapper fort. Bysra vint aupres d'Asgarh pour lui dire que comme la dernière fois il y avait un nécromencien qui se cachait quelque part, le tuer signifierait de laisser libre cours à la magie curative de Bysra contre les rangs des ténèbres. Asgarh comprit et commença à chercher un mort qui serait différent des autres. Pour être précis il cherchait Alderan, mais ne le voyait pas. Puis là ce fut le drame. Bien qu'Alderan se montra enfin, il n'était pas seul. Des squelettes certains portant des armures d'autres juste des armes. Il y en avait à perte de vue. Ils se lançairent dans la bataille. La situation avait completement changé. Mais si Alderan mourrait alors Bysra pourrait exterminer tous les ennemis. Ainsi Asgarh parla de son plan à Nelphaëll qui appela deux de ses meilleurs guerriers s'était des Asadars. Ils avaient pour mission de donner leur vie pour que le Wolfen atteigne Alderan. Mais asgarh n'était pas assez fort pour vaincre Alderan, en tout cas pas seul. Il prit soin de faire venir Irix avec lui. Il firent un trou dans les rangs énnemis. Au passage il furent rejoind par Kassad qui arraivait même à mettre une touche d'humour dans cette situation. Il finirent par arriver non loin d'Alderan qui semblait les attendres. Bien entendu quelques squelettes tentairent d'arreter le petit groupe de passer mais en vain. Mais au moment ou il purent enfin ouvrire le combat avec Alderan, trois autres morts arrivairent. Le groupe se figea sur place. Le premier qui avait montré le bout de son nez, était une goule, tout bonnement, mais elle n'avait pas de main, à l'extrémité de ses bras se montraient deux lames courbées. Il ne semblait pas très fort. Irix se protégea de justesse de l'assaut de cette goule. Elle était rapide, très rapide. Asgarh eu peur pour Irix mais il croyait en elle. La deuxième était un mort humain il était habillé d'un long manteau taché un peu partout de sang. Il avait un chapeau ridicule et un sabre au bout recoubé muni de dents. Il s'avança doucement, enleva son chapeau, fit une révérence. Puis il pointa son arme vers Kassad et lui dit de le suivre. Kassad se jeta sur lui dès qu'il pu. Le dernier était encore un mort humain, mais il n'était pas si mal conservé. Il avait du être un magicien dans le temps cela se voyait aux traits de son visages. Mais il ne l'était plus car jamais Asgarh n'avait vu un magicien manier une hache comme celle que portait cet être. Les deux Asadars savaient que la fin avait sonné pour eux mais il se ruèrent quand bien même la peur les fesaient trembler de tout leur être. Il ne restait donc plus qu'Asgarh et Alderan. Ce dernier parla avant que le combat commence. Il expliqua qu'Irix était aux mains de Chagall, que Kassad était en pleine bataille avec le croquemitaine et que c'était le fossoyeur qui s'occupait des Elfes. Pourquoi est ec que Alederan avait di tout cela? Asgarh s'en moquait, il se précipita sur son ennemi. Les combats étaient rudes. Ils n'étaient pas aux bouts de leurs peines.

[A suivre]

Act XII : Duels en pleine forêt

Irix usait de toute sa rapidité et de son talent afin de parer les coups rapide que lui donnait Chagall. Mais rien n'y faisait, se faisant légèrement toucher par moment, elle était vraiment dans une mauvaise position. Elle n'avait pas encore donné un seul coup lorsqu'elle vit que son ennemis ne perdait jamais ni en vitesse, ni en vitalité. En effet, elle se rendi compte qu'un combat contre un mort ne devait pas durer car comme ceux-ci ne sont plus affecté par la vie, le concept de fatigue leur était inconnu. Elle par contre commençait peut à peu à se fatiguer. Cherchant comment faire pour se débarasser de Chagall, elle continuait de parer tous les coups.

Pendant ce temps, Kassad se retrouvait lui aussi dans une mauvaise posture. Bien que rapide et agile, il n'avait porté aucun de ses coups au but. A croire que le Croquemitaine avait une défense hors norme. De plus le mort profitait de tous les faux pas de Kassad pour lui placer un coup, rarement puissant, mais qui au final finissait toujours par faire mal. Kassad, perdant petit à petit de sa joie habituelle, commençait chercher un plan afin de renverser la situation. Attendant en face du Croquemitaine, qui, n'attaquait jamais, l'idée pour le sauver.

Le combat n'avait pas commencer depuis plus de cinq minutes, que les deux elfes étaient déjà à bout de souffle. Il faut dire qu'ils avaient beau être de valeureux guerrier, face au Fossoyeur cela ne suffisait pas. Les elfes tentaient assez souvent de contrer la lourde hache de par leur bouclier, mais en vain, à chaque fois il étaient progeté à plusieurs mètres de là.

Asgarh se ruant vers son ennemis se demandait qu'elle arme il allait devoir affronter, la lame courte ou l'épée longue. Mais cette question eu vite une réponse car dès que les deux combattants furent à proximité, Alderan lacha son épée longue et vint à la rencontre du Wolfen. C'est ainsi que le combat s'engagea. Jouant entre parade et contre, Asgarh avait l'aventage sur Alderan du moins pour le moment.

Coup du destin, Irix fut une fois de plus bléssée face à Chagall et poussa un hurlement afin de se redonner du courage. Ce cris détourna l'attention d'Asgarh qui ne put parer un des coup d'Alderan qui avait profité de la situation. Heureusement les refléxes d'Asgarh était bons et ainsi la bléssure ne fut que superficiel mais Asgarh n'avait pas la tête seulement dans son combat ce qui lui rendait les choses encore plus dûres. Il fallait que la situation tourne sinon il ne saurait comment faire.

Irix venait donc de se faire blésser plus que d'ordinaire. La plaie saignait beaucoup et Irix commençait à être éssouflée. En revanche cette bléssure ne fut pas totalement inutile, elle permit à Irix de voir une faille dans les attaques de Chagall. En effet ce dernier s'immobilisait totalement et fixait son regard pendant plusieurs secondes sur la bléssure qu'il faisait naître sur le corps de la Wolfen. C'était une chance à ne pas rater, qui demanderait à la femelle beaucoup de courage. Elle continua de se défendre du mieu qu'elle put lorsqu'elle vit une attaque plus faible que les autres foncer droit vers une de ses épaules. Elle se baissa afin que la lame de Chagall ne lui perfore par le corps mais la touche quand même. Ainsi le mort fit une fois de plus couler du sang d'Irix et regarda la bléssure avec une telle joie qu'il ne vit même pas arriver l'attaque de la Wolfen. Lorsqu'il reprit ses esprits Chagall eu la mauvaise surprise de se retrouver avec un bras en moins. Mais il en fallait plus que cela pour l'arreter, ainsi il repartit à l'attaque.

Le croquemitaine avait de plus en plus de mal à blesser Kassad, qui, même en se fatiguant commençait à s'habituer au jeu du cadavre. Non content de cela il commençait à attaquer, comme le désirait Kassad. Car ce dernier possédait une plus grande rapidité et se servait des attaques du Croquemitaine pour, à son tour, contrer et toucher son adversaire. Mais les os sont plus difficiles à detruire qu'une fine couche de peau, donc Kassad avait énormement de mal à toucher grièvement son ennemis. Mais il persévérait quand même dans sa tâche. Leur combat était semblable à une danse. En effet il n'était pas rare qu'ils se retrouvent face à face tournant autour d'un centre invisible ou de voir Kassad sauter sur son ennemis telle une valseuse sautant dans les bras de son partenaire. Mais rien n'était encore gagné.

Un rire sortit de l'odieuse bouche du Fossoyeur en voyant la vie s'éteindre du corps d'un des elfes. L'autre bléssé grièvement d'un coup de hache dans la poitrail attendait couché au sol que son meurtrier finisse le travail qu'il avait si bien commencé. Sortant sa hache du corps completement mort de l'elfe, il s'approcha de sa deuxième victime. Il souleva sa hache, les yeux de l'elfe se fermirent, le vent soufla et l'Assadar partit retrouver ses ancètres. Le Fossoyeur partit en direction d'Irix qui était la plus proche afin de finir le travail que Chagall avait du mal terminer.

Asgarh était inquiet de voir Irix aux prises avec deux morts, lorsqu'un hurlement, dit à la lune, se fit entendre au milieur des bruits des armes s'entrechoquant. un nouveau Wolfen venait de faire son entrée. Il ne perdit pas une seule seconde et se plaça entre Irix et le Fossoyeur. Ce dernier laissa apparaître un sourire à la vue d'un nouvel ennemi.

Onix n'aurait pas fait le fier devant ce Wolfen qui devait surement être le plus imposant de sa race. Muni d'une hache, Varghar venait de faire son entrée en scène ce qui rendit le sourire sur le visage des trois Wolfens.

Pendant ce temps le reste des Wolfens, tout comme les elfes se battaient du mieux qu'il pouvaient face aux hordes de squelettes et autres morts vivants. Mais le combat était sérrés. Bien que chaque Wolfen détruisait un nombre impréssionant d'ennemis l'infériorité numérique des elfes ne leur laissait que peut de chance. L'élémentaire de feu, qui devait renverser la situation en pouvait faire dons de ses pouvoirs à la destruction des morts vivants car il aurait anéhanti les elfes par la même occasion. Il se contentait donc de faire comme tous le monde, un combat au corps à corps. Sa présence était égale à celle des Wolfens, mais ce n'est pas un guerrier de plus qui peut faire changer une telle situation. Bysra se contentait d'attendre à la limite de la bataille évitant de trop se mesurer aux morts, sa présence pourrait encore être utile.

Chagall avait perdu son avantage face à Irix lorsqu'elle lui avait oté un bras. Menant toujours des attaques très rapide il ne pouvait se servir que d'une arme ce qui avait eu pour effet de diviser par deux sa cadence de frappe. Irix bien que fatiguée et beaucoup bléssée n'eut pas de mal à achever l'ennemis, en plaçant un contre magnifique. En effet chagall finit par retourner dans le monde des morts d'où il n'aurait jamais du partir. Elle se précipita pour aider Asgarh qu'elle savait en difficulté mais ce dernier lui fit signe de partir aider les elfes si sa force le lui permettait. Bien entendu la vitalité Wolfen est assez grande pour leur permettre de se remettre facilement de bléssures superficielles même en nombre, ainsi elle s'éxécuta et se méla au combat que menait les elfes.

Au bout d'un moment et à force de recevoir des coups, les os du Croquemitaine commençaient à se fragiliser. Ainsi la victoire était aquise pour Kassad qui s'apprétait à surement lancer sa dernière attaque sur le mort, lorsque ce dernier jeta son arme à terre, fit signe au Wolfen de la prendre. Apres il fit une réverence toujours aussi ridicule et disparut dans l'ombre sous lui. Kassad ne prit pas le temp de s'étonner il fit demi-tour et partit rejoindre le champ de bataille comme l'avait fait Irix peu de temps avant lui. Il avait quand même récupéré l'arme du Croquemitaine sans trop savoir pourquoi.

Le Fossoyeur n'avait toujours pas commencé son combat, il riait toujours. Varghar, au bout d'un moment, se lassa d'entendre se rire et entama le duel pour le plus grand plaisir de son partenaire. Varghar était beaucoup plus fort que les elfes et arrivait à parer sans mal les coups de la hache du Fossoyeur, ce qui rendait ce dernier encore plus content. Cet être était vraiment fait pour le combat. Le duel était sérré et les deux acteurs n'arrivaient pas à se toucher.

La nuit commença à tomber, aucun nuage n'était présent et la lune petit à petit montait dans le ciel. Il n'est pas nouveau que la lune à un effet sur les loups, surtout quand celle-ci est pleine. Une fois la lune bien haute dans le ciel, les uns apres les autres, les Wolfens se mirent à regarder l'éclat dans le ciel. Chacun hurla à sa façon mais tous eurent les yeux rouge comme le sang. Le sang, ils auraient aimé en voir ce soir là, mais les morts non pas de sang alors maintenant que l'éxcitation était en eux ils redoublèrent d'effort au combat. Les rangs des morts commençaient à s'amenuir sous le coup de la nouvelle force des Wolfens.

Kassad hurla le premier premier immédiatement suivi par Vanghar qui désirait finir au plus vite son combat. Vanghar fit tourner sa hache au dessus de sa tête et balança un coup d'une puissance phénoménale. Le Fosoyeur tenta d'arreter l'arme du Wolfen mais ce fut en vain. Un gros morceau du crâne de l'être sans vit vola pendant que le reste du corps était en train de tomber. Vanghar avait gagner. Mais cette victoire ne lui suffisait pas, ainsi il partit rejoindre ses confrèrent et se mit lui aussi à causer des pertes dans les rangs ennemis. Mais les elfes commençaient à n'être qu'une petite troupe que Nelphaëll commandait avec bravoure.

Lorsqe le Fossoyeur eu terminé sa chûte, Bysra fut étonné de sentir une nouvelle force, celle de la vie prenant le dessus sur la mort. Ainsi ce n'était nullement Alderan qui maintenait toute l'armée debout mais bien le Fossoyeur. Bysra ne perdit pas une seule seconde il appela Onix, qui vint à la vitesse de l'éclair, afin que celui-ci le protège lors de l'incantation. En effet, Bysra avit trouvé lors de se combat un moyen de mettre tous ses morts de nouveau sur le chemin de l'enfer. Il savait que l'incantation serait longue, il se dépéchait du mieux qu'il pouvait afin d'épargner le plus de perte aux elfes.

Alderan eu une mine surprise à la vue des yeux rouge sang d'Asgarh, mais ceci ne lui fit en aucun cas peur. Le combat reprit donc apres quelque secondes d'intérruption lorsque le mort lacha son arme pour prendre son épée longue. Il savait que la lame courte ne pourrait contrer les assauts surpuissant qu'allait provoquer le Wolfen. Ce dernier ne réfléchissait plus, balançant des coups dans tous les sens dans le but d'anéantir une bonne fois pour toute ce mort de malheur. Mais ce n'était sans compter sur l'adresse d'Alderan qui sans grande difficulté parait chacun des coups du Wolfen. Voyant sa technique inéfficace, le Wolfen regagna un tout petit peu de son calme et rejoua avec des attaques plus précises, jusqu'a enfin enlever l'arme de la main de son ennemi. Le Wolfen n'avait plus d'arme non plus. Tout Wolfen qu'il était il se jeta sur Alderan et le harcela de coup de poings, de griffes, de genoux, enfin de tout son corps. Alderan beaucoup moins habitué au combat à mains nues et surement pas de taille à rivaliser aux poings avec un Wolfen, se dégagea du mieux qu'il put. De nouveau debout, Alderan immita son ami le Croquemitaine et s'évapora dans le vide riant de tout son être. Mais avant de partir totalement il donna rendez-vous à Asgarh au royaume des ombres.

[A suivre]

Act XIII : Bysra sauveur ou destructeur des Elfes?

De nombreux nuages vinrent de nul part pour recouvrir le ciel. Des nuages d'un blanc plus qu'étrange. La lune bien vite cachée perdit de son effet sur les Wolfens qui du coup avaient retrouvé leur puissance normale. De plus la fatigue de la transformation se faisait plus que ressentir. Presque tous les WOlfens étaient inaptes au combat.

Les morts qui étaient en ce lieu dans le seul but de détruire la race elfique oublièrent très vite les loups pour tous se retrouver autour des Elfes qui n'étaient plus qu'une dizaine. Aucun d'entre eux n'était indemne, même Nelphaëll avait de nombreuses bléssure sur le corps.

En cercle les morts lançairent un assaut groupé. Les elfes firent de leur mieux pour se défendre, mais petit a petit les morts gagnaient du terrain. L'incantation de Bysra venait de se retourner contre eux. N'étant pas assez habitué à ce genre de magie, il était beaucoup plus lent qu'il ne l'avait imaginé. Les nuages étaient presques prets mais il fallait encore quelques minutes avant qu'ils puissent encore sedéverser.

Puis d'un coup, d'autres nuages apparurent et une pluie d'eau bienfaitrice s'abbatit sur le champ de bataille soignant tout être vivant et replongeant dans les ténèbres les autres.

Bysra vit une main se poser sur son épaule. Il arréta son incantation et vit la Synchronïme elfe appuyée sur son bâton. Elle venait de sauver son peuple. Enfin ce qu'il en restait. Seul sept Assadars et la belle Nelphaëll survécurent. Un peuple encore nombreux il y a quelques jours voyait sa fin en ce moment de profonde tristesse.

Les Assadars marchairent sur le champ de bataille à la recherche d'un ami, d'un parent ou d'un être aimé. Chacun à leur tour, trouvant puis pleurant sur le corps des défunts, les Assadars jurairent sur le nom des morts-vivants.

Les Wolfens se regroupairent, tout le monde était là et plutôt bien portant grâce à le pluie bienfaitrice. Les Elfes les rejoinrent peu de temps àpres. Seul l'élémentaire de feu manquait à l'appel. Après le pluie il y avait peu de chance qu'il ai survécu. Mais à la grande surprise de tous, il arriva depuis le village. Il expliqua que dès qu'il avait vu les nuages arriver il était partit se cacher sans prendre le temps de prévenir.

Tout le monde retourna au village pour prendre un repos bien mérité. Mais peu réussirent à dormir cette nuit là. Bysra lui n'avait pas prévue de dormir mais de suivre les enseignement de la Synchronïme afin de faire pleuvoir plus vite sur les champs de bataille. L'apprentissage fut long et difficile pour le Wolfen. La nuit ne lui suffi pas, ainsi il continua durant deux autres jours.

Pendant ce temps là, Asgarh était retourné sur le lieu des duels qui s'étaient déroulés il y avait peu. Seul la lame courte d'Alderan restait de son coté. Absolument rien des combats d'Irix et Kassad. En revanche Asgarh fit la découverte d'un livbre sur le corps du Fossoyeur, un livre écrit en language mort mais qui devait surement contenir des secrets qu'il fallait découvrir.

C'est ainsi qu'a la fin de l'initiation de Bysra tous partirent du village Elfe. En direction de la Tour Noire. Là bas vivait un mage d'une puissance phénoménale. Ni bon, ni méchant il aide tous ceux qui lui apportent quelque chose.

[A suivre]

Act XIV : Attaque et surprises.

Elfes et Wolfens partirent accompagné par l'élémentaire de feu en direction de la tour Noire, lieu de vie de Sadar Tillius. On disait de lui qu'il connaissait tous les sortilèges au monde et pouvait lire dans n'importe quel langue. On disait aussi qu'il avait le pouvoir de parler aux animaux et aux plantes. Mais ces dirent étaient loin de la vérité. Il était seul dans sa tour et aucune armée n'avait jamais pénétrée ses terres. Toujours détruite sur le chemin par on ne sait quel maléfice. Ces terres étaient à la sortie de la forêt, autrefois des elfes.

Sur le chemin Asgarh chercha un réconfort dans les parôles de Nelpaëll ou de la Synchronïme. En effet Asgarh se demandait comment ils allaient rentrer sur les terres encore viergesdu magicien. Mais rien de ce qui lui fut di ne lui remonta le moral. Tout le monde avançait sans grand espoir de parvenir à leur but.

Plus proche de leur but, ils avançaient beaucoup plus prudement, mais un danger les guéttait, tous en étaient certain. Les Wolfens en cercle autour des Elfes essayaient de déceler le moindre risque, mais ce ne fut pas sans compter sur la fourberie des hommes du mal.

Tout d'un coup un énorme fracas se fit entendre loin devant le groupe. Le bruit recommença à plusieurs reprise mais il se rapprochait. Les Elfes appeurés demandait à Nelphaëll de faire demi-tour. Aucun ne désirait mourir ni laisser l'extinction de leur race arriver. Les Wolfens pas rassurés du tout se mirent tous devant les Elfes en signe de protection afin de tenter de les rassurer. Le bruit recommença encore une fois, mais cette fois ci il était tout proche. Le temps de la fuite était passé. Ainsi tout le monde se prépara au duel.

D'un coup, une ombre énorme apparu au dessus des Wolfens. Le temps pour eux de se retourner et c'était trois et septs Assadars qui venait de se faire découper par un Dasyatis. Ces êtres maléfiques ne connaissant comme but que la mort. Armé d'une lame si grosse qu'un Wolfen jouerait le rôle d'un ingrédient face à ce couteau de boucher impréssionant.

Les Elfes encore debout coururent dans tous les sens pour essayer de sauver leur vie. Les Wolfens coururent à leur secours mais entre temps un autre Assadar venait de goutter à la terrible lame.

L'armure épaisse du monstre rendait tout assaut infructueux et causa la perte d'un Assadar de plus. Les deux restants se mirent fièrement devant Nelphaëll jurant de la proteger jusqu'a leur mort qui n'allait surement pas tarder. La bête se rua vers les trois Elfes. Elle bondi et prépara son attaque qui allait surement tuer les toris êtres d'un coup. Les Wolfens trop lent ne purent que rester spectateur de la scène.

Au moment ou la lame allait s'abbatre sur les Elfes, le bête chutta sur le coté, écrasa sur son passage un arbre. Malheureusement, la tête d'un Assadar coulait le long de la lame. Il avait été fauché au passage. Qui avait pu renverser ce monstre? Asgarh avait le syeux grands ouverts et attendait vraiment que le nuage de poussière se lève pour voir qui avait sauvé Nelphaëll et son dernier guerrier.

Une fois une legère rafale de vent passé, Asgarh eu l'étrange surprise de voir un Elfe, normal sans aucune envergure extravagente. Il était en train de donner un baiser des plus tendre à la belle Nelphaëll. C'est ainsi qu'Asgarh vit pour la pemière fois Syd de Caïber, le mari de Nelphaëll. La seul chose qui pouvait le différencier d'un Assadar était l'absence de haume et la présence d'une lame longue comme arme.

Onix hurla de rare, ne comprenant pas comment un Elfe aussi faible que Syd avait pu faire tomber la bête alors que lui même était resté inéficace. Mais le baiser du couple s'éternisa et laissa largement à l'assaillant de se relever. Il courait déjà vers eux l'arme prête à tuer de nouveau. Syd laissa sa compagne seulement quelques secondes avant une rencontre inévitable. Il couru vers la bête à une vitesse faramineuse. Irix ne fesait pas la fière d'un coup. On aurait dit qu'il se déplaçait à la vitesse du vent.

L'énorme monstre, bien que rapide pour sa taille ne put résister au coup de genoux qu'il ressu en plein dans le menton, le faisant vaiser en l'air puis s'écraser au pieds de Nelphaëll qui ne semblait plus du tout appeurée. Etrangement l'Assadar restant ne tremblait plus et avait rejoind la Synchronïme un peu plus loin. Syd était-il aussi fort pour que personne n'eu peur pour sa vie? Asgarh eu vite la réponse.

Syd rouait de coup le monstre à une vitesse incroyable. Le monstre rendit l'âme apres seulement quelques minutes durant lesquelles les Wolfens n'avaient pas bougé d'un pouce, comme figés d'admiration. Syd leur fit un choc. Comment un être aussi petit pouvait être aussi rapide et fort? Toutes ces questions qui se bousculaient dans la têtes des loups. Etrangement l'élémentaire du feu était resté bien calme. Asgarh vint à sa rencontre pour lui demander des informations à propos de cet être hors du commun.

[A suivre]

Act XV : Syd de Kaïber spectateur de la fin d'un peuple.

L'élémentaire connaissait bien Syd de Kaïber aussi connu sous le nom l'Elfe soufflant à cause de sa vitesse. Marié à Nelphaëll depuis très longtemps maintenant, l'élémentaire raconta l'histoire de sa rencontre avec cet Elfe aux pouvoirs étranges.

C'était il y a longtemps lorsque les guerres entres les races n'avaient que peu débuté. Lorsque les morts ne se relevaient pas et les Wolfens de simples loups. Syd venait de se marier avec Nelphaëll mais un évènement vint troubler leur cérémonie. Une vent se lit à souffler, plus fort que jamais, fesant s'envoler toutes les décorations, quand ce n'était pas les elfes eux mêmes. Syd sans hésiter prit son arme et couru en plein vent pour trouver qui faisait cela. Mais ce vent très puissant, souleva l'elfe dans les airs. Un élémentaire de vent vint se placer devant Syd et lui parla dans le language elfique. Immédiatement Syd su que ce n'était qu'une invocation qui se trouvait devant lui car aucun être de la Terre n'avait la capacité de parler cette langue. Le magicien responsable de l'invocation comprit son erreur et rencontra Syd. Ce mage non méchant mais très joueur, posa une question à Syd, une énigme. Syd trouva la réponse et gagna ainsi des bottes magiques qui lui conférerait une vitesse accrue.

La magicien allait partir mais Syd lui demanda ce qu'il avait dans cette petite jarre acroché à sa ceinture. La mage lui expliqua qu'il avait réussi à capturer un homme de feu. Syd voulu le gagner pour lui rendre la liberté et du ainsi se battre à main nue avec une invocation. Un élémentaire de la pierre. Syd après de nombreux effort finit par vaincre et liberer l'homme de feu qui n'était autre que l'élémentaire qui racontait cette histoire. Une fois libéré Flamma rendi service à Syd et leur vie ne se croisèrent plus jamais.

Asgarh comprit d'où venait donc cette rapidité. Mais lorsqu'il voulu en savoir un peu plus sur le mage, Flamma refusa de répondre. C'est à ce moment là que Syd de Kaïber ce présenta devant Asgarh. La rencontre de ces deux personnages allait être décisif dans la quête que menaient les Crocs Unis. La puissance de cet Elfe pourrait être très utile aux Wolfens, mais Asgarh ne pensait pas pouvoir le convaincre de ce rallier à eux. A juste titre, vu qu'après plusieurs heures d'argumentation l'elfe refusa une fois de plus à se joindre à l'équipe. Il faut dire qu'il était en présence des derniers représentant de sa race, à savoir, une magicienne sur le point de mourir de vieillesse, un guerrier, sa femme et lui même. Quatre représentant d'un peuple qui fut fiere et puissance mais qui était en passe de s'éteindre.

Asgarh déçu de la réponse, demanda juste en retour de l'aide apporté sur le champ de bataille, un guide jusqu'à la tour Noire. Nelphaëll soutint Asgarh dans ces mots et Syd ne put qu'accepter. C'est ainsi que tous partirent en direction de cette tour tant attendue.

Après quelques jours de marches sans intérruption, Syd montra une clairière un peu plus loin et expliqua que la était la clef pour entrer dans le domaine du magicien sans craindre ses foudres.

Nelphaëll, la Synchronïme, l'Assadar et Syd de Kaïber n'irent pas plus loin en compagnie des Crocs Unis. Ils firent demi-tour en direction dont ne sait quelle lieux seulement connu des Elfes. Mais tous savaient que la fin des Cynwälls était arrivé. Ainsi, les Wolfens avançairent accompagnés de Flamma.

[A suivre]

Act XVI : Une clairière emplie de mystère.

Les Wolfens venaient d'entrer dans la clairière montrée auparavant par Syd. Elle se présentait à première vue semblable à n'importe quelle autre clairière. Après une bonne heure de recherche, rien ne paru différent d'ordinaire. Asgarh avait beau se creuser la tête, aucune idée ne lui vint. La clairière, comme toute autre, se présentait comme une partie de la forêt ou les arbres se font moins dense. La lumière passait à travers l'immense feuillage au dessus de la tête des Wolfens. Ainsi le soleil rechauffa le visage des loups avant qu'il ne se couche. A la nuit tombé, le groupe monta un camp en plein centre de la clairière.

C'est un hénissement qui réveilla le groupe en pleine nuit. Bien que le Veilleur veillait sur place, le hénissement vint de plus loin qu'il pouvait voir ou sentir. Après quelques autres cris de ce genre, un centaure fit irruption dans le petit coin de paradis ou se trouvait les Crocs Unis et l'élémentaire.

Les centaures, êtres mi-hommes, mi-chevaux, n'étaient pas les plus grands amis des Wolfens. Mais celui-ci n'avait pas l'air méchant ni même agressif. Il s'avança, puis donna son nom. Baal, dit le conquérant à cause des nombreuses terres qui furent les siennes durant sa longue vie. Baal expliqua que lui et ses confrères centaures étaient au service du magicien de la tour noire. Défendant en tuant tous les êtres s'approchant de trop près.

Asgarh eu la bonne idée de lui demander comment des voyageurs pouvaient lui demander son aide en échange, bien entendu, de l'accomplissement d'un service. Baal expliqua que seul ceux qui passent le test avec réussite pouvaient aller le voir sans crainte. Asgarh demanda ensuite qu'elle était la condition pour que le groupe ici présent puissent passer ce test. Le centaure expliqua que tout être présent dans cette clairière et demandant à passer le test recevait le droit de le faire. Ainsi Asgarh demanda à ce que le groupe passe le test. Syd les avait bien aidé.

A ce moment là, de nombreux centaures firent leur apparition. Mâle ou femelle, il y en avait pour tous les goûts. Presque aucun d'entre eux n'étaient armés et pourtant ils impressionnaient les Wolfens de par leur nombre et leur envergure. On aurait dit qu'une aura se déplaçait partout dans la clairière. Les Wolfens se préparèrent à être malmenés par ces créatures étranges. Baal approcha et se prépara à expliquer les règles du test.

[A suivre]